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  1. #1

    Crocchette, en français

    L’alimentation du chien familier. Novembre 2005.
    " Que l’alimentation soit ta médecine " Hippocrate.
    Tout d’abord, il convient de rappeler quelques principes et caractéristiques biologiques, physiologiques, mécaniques et chimiques, du système digestif des canidés, et plus particulièrement, du chien.
    Le chien est un carnivore à tendance omnivore. Son ancêtre, le loup, chasse en groupe des proies imposantes qui peuvent nourrir la meute plusieurs jours. C’est son mode de vie social et son environnement qui déterminent principalement la taille des proies chassées. Cette chasse en groupe, entraîne une prise de nourriture en groupe. Et même si une hiérarchie claire existe de façon duelle entre les loups d’une meute, les repas sont source d’une intense excitation, ce qui est principalement responsable de la façon dont les loups vont ingérer leur repas.
    Dans les années 70, les observations de David Mech (spécialiste mondial de l’éthologie du loup) montraient que les loups (tout comme les fauves et les autres carnivores qui chassent de grosses proies, rendant possible une " dissection " des différentes parties) commencent leur repas en consommant les viscères (panse, intestins, organes…) de l’herbivore.
    Ce comportement phylogénétique permet non seulement d’avoir accès à une source de végétaux (et leurs différents nutriments) prédigérés, et donc assimilable par les canidés. D’autre part, le fait de vider le gibier comme le ferait un chasseur, permet une meilleure conservation de la viande.
    La dentition d’un carnivore est faite pour saisir, mettre à mort, déchirer la chair, casser des os… et en aucun cas pour broyer. J'entends broyer pour déconstruire la cellulose et prédigèrer l'amidon grâce à l'amylase de la salive, comme le font les herbivores.(pas de molaires plates). Si les dents ne sont pas " utilisées " sur les matières, et des diverses façons pour lesquelles elles sont faites, il y a rapidement une apparition de tartre, ce qui nuit non seulement aux gencives, mais aussi à l’équilibre microbien de la gueule. Les lysosomes sont des antibiotiques naturels responsables de l’équilibre microbien de la gueule, intervenant dans les soins des blessures par léchage. Si ils sont détruits, des problèmes tels que la parodontose peuvent aussi apparaître. Dans la nature, cette maladie est inconnue. Le brossage des dents (avec des produits détruisant l’équilibre microbien d’ailleurs), ou la recherche développement autour de la texture et de la résistance des aliments industriels ne remplacera jamais une nourriture nécessitant l’utilisation de toutes les faces et de toutes les dents.
    -Film Royal Canin : [www.royalcanin.fr]
    -Photos parodontose : [www.monfidelecompagnon.com]
    Le système digestif des carnivores est aussi adapté à la nourriture la plus riche car ils se situent en fin de chaîne alimentaire. Il est donc très court, car son repas est facilement et rapidement assimilable. (Le bol alimentaire d’un chien nourri à la viande est assimilé deux à trois fois plus vite que nourri aux croquettes). La prise de nourriture en groupe, les régurgitations aux jeunes, nécessite d’ingérer une grande quantité de viande à la fois (pas de jabot social !) Les sucs digestifs sont très concentrés et très corrosifs, ce qui permet de consommer de la viande avariée où se développent rapidement les microbes, mais aussi de digérer des parties dures du corps des herbivores (qui ont un squelette particulièrement résistant puisqu’ils sont souvent très lourds) : os, tendons, nerfs, et même bois. Eux même riches en minéraux indispensables comme le calcium, kératine, autres minéraux… Contrairement aux petits carnivores non sociaux comme le chat, le chien est fait pour consommer de grosses quantités de viande à la fois. Cela est du à la dépense d’énergie nécessitant ce type de chasse et sa fréquence, son habitat, la taille de ses proies. Son système digestif y est adapté, et si cela n’est pas respecté, la production d’enzymes digestifs et de bile ne peut pas suivre. Il a besoin de phases de repos conséquentes.
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
    foto

  2. #2
    Concernant les risques microbiens, des os et les parasites internes, dans le cadre d’une alimentation naturelle, je me permets de copier-coller un post que j’ai rédigé sur le forum d’un site dédié à cette alimentation :
    " -La viande que nous donnons à nos chiens ne peut théoriquement pas être porteuse de maladies, puisqu' elle est à l'origine destinée à la consommation humaine.
    -Les bactéries (salmonelles par exemple) ne se développent pas de façon dangereuse tant qu'on respecte les principes d'hygiène les plus élémentaires (stockage, travail, abattage, conservation, décontamination, ne pas mélanger les viandes et donc les bactéries...). Pour ce point, vous trouverez tout ce qu'il faut savoir à partir de Google. De plus, le fait de donner des morceaux entiers, les moins travaillés possible, diminue énormément les risques de prolifération, de détérioration, d’oxydation. (Le pire étant la viande hachée).
    Soit dit en passant, quand un chien mange une crotte (ce qui n'est pas rare pour certains), c'est une dose massive de salmonelles qu'ils ingèrent!
    -Le bol alimentaire constitué de viande crue est très efficacement et très rapidement digéré et assimilé par le système digestif du chien. Contrairement aux croquettes qui stagnent beaucoup plus longtemps pour causes d'indigestibilité des trois quarts de leurs composants (gaz dus aux céréales, fatigue du pancréas, épuisement des enzymes de digestion, entraînant fatigue générale et hypersensibilité de l'appareil digestif)
    -Les éventuels oeufs de parasites ont beaucoup moins de chance de pouvoir se développer chez un chien nourri à la viande qu'aux croquettes. Leur évacuation se fera d'autant mieux que le chien sera apte à lutter efficacement. Mais au fait, qui vermifuge les loups et autres canidés dans la nature? Sachez aussi que la plupart des parasites intestinaux du chien et du chat sont transmis par les piqûres de puces, et plus particulièrement leur salive qui en contient les oeufs.
    -Bref, si nous donnons des produits frais et naturels, ce n'est sûrement pas pour avoir des chiens plus fragiles. Un chien nourri avec cette alimentation est tout à fait capable de boire l'eau d'un marais, manger un vieux sandwich abandonné depuis des lustres et grouillant de vers, déterrer et se délecter d'un os enfouis il y a des mois...
    Voilà mon avis. J'ai fait mon choix en préférant cette nourriture " potentiellement dangereuse " à celles fournies par l'industrie, pour lesquelles, là, je n'ai aucun doute sur leur dangerosité. "
    En liberté, les chiens, les loups, les renards, peuvent être aussi opportunistes et consommer de petits rongeurs, insectes, mollusques, et certains végétaux. A propos, le fructose (sucre des fruits) est très apprécié par les canidés. Les papilles gustatives de leur langue les plus nombreuses étant celles du goût sucré ! Est-ce une adaptation pour " mieux sentir " le sucré même en quantité infime, ou un équipement sensoriel leur permettant l’accès à des sources de vitamines et sucres non présents dans les proies animales ? La sécrétion de l’insuline (hormone responsable du stockage des graisses) se fait grâce à la stimulation buccale des papilles gustatives. (on en déduira les dérèglements dus aux produits édulcorants.) Pour ce qui est des vitamines, il faut tout de même savoir que la viande crue contient une quantité non négligeable de vitamine C (voir régime des Inuit) et que la vitamine K (présente dans les abats , les viscères…) permet au tube digestif de synthétiser toutes les autres vitamines.
    -Vidéo " cueillette des framboises " : [www.zippyvideos.com]
    Introduction consacrée à l’alimentation industrielle :
    Déclaration Universelle des Droits de l’Animal, adoptée par la Ligue Internationale des Droits de l’Animal à Londres en 1977. Proclamée le 15 Octobre 1978 au siège de l’UNESCO à Paris : (Article 5.1)
    -Tout animal appartenant à une espèce vivant traditionnellement dans l’environnement de l’homme a le droit de vivre et de croître au rythme et dans les conditions de vie et de liberté qui sont propres à son espèce.
    2) Toute modification de ce rythme ou de ces conditions qui serait imposée par l’homme à des fins mercantiles est contraire à ce droit.
    Article 6.1) Tout animal que l’homme a choisi pour compagnon a droit à une durée de vie conforme à sa longévité naturelle.
    Si pour Charles Baudelaire, " la plus grande ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ", les fabricants d’aliments industriels pour chien et chats, eux nous font croire qu’ils existent depuis toujours ! Vous trouverez en suivant ces liens l’historique de ce commerce né en Angleterre en 1860. Permettez-moi cette allusion diabolique à Baudelaire, ceci étant finalement consensuel en occident quand il s’agit de s’attaquer au pouvoir en général…
    -Histoire des pet-foods : [www.petfoodinstitute.org]
    A travers des références comme les livres, les témoignages, l’Internet, et surtout ma propre expérience, je vais d’abord vous expliquer pourquoi je ne donne plus de nourriture industrielle à mes animaux, et ensuite, pourquoi j’ai choisi l’alimentation naturelle.
    Je rappellerai d’abord que n’importe quel carnivore, en fin de chaîne alimentaire est particulièrement exposé aux pollutions chimiques, hormonales ou par les métaux lourds via sa nourriture. En effet, ces différents polluants passent sans problème les différents maillons de la chaîne, et se retrouvent aussi diversifiés que concentrés dans l’alimentation des canidés d’une large partie de la planète.
    Un loup mangeant un cervidé assimile donc aussi ce avec quoi sa proie a " construit son corps ". Le dicton " on est ce qu’on mange " se vérifie malheureusement. Là, ce sont des risques effectifs qui existent dans la Nature. Plus proche de nous, en bout de chaîne… industrielle, se trouvent les aliments pour animaux familiers. Ces aliments sont faits à partir de déchets des diverses industries agro-alimentaires. Ils ont été traités en tant que tel (pas de réfrigération, conditions de stockage, de transport déplorables, mélange avec d’autres produits pas forcément alimentaires). La plupart du temps, l’industrie des pet-foods est payée par les autres entreprises pour débarrasser ces ordures. Comme exemple, je citerai une liste aussi effrayante qu’effarante des produits ainsi récupérés, (que vous pourrez trouvez dans les références que je donnerai plus loin) :
    -Sciure de bois, becs, plumes, intestins et leur contenu, écailles de poisson, résidus de riz et maïs de brasserie, pulpe de betterave sucrière, cornes, et aux Usa et au Canada : animaux d’équarrissage, morts dans les zoos, dans les refuges, euthanasiés par les vétérinaires, viandes périmées avec leur emballage en polystyrène, etc.
    Dernièrement, je parlais avec mon vétérinaire (pourtant pro croquettes) des lois américaines permettant l’utilisation des animaux d’équarrissage. Les poisons n’étant pas détruits par les process de fabrication des croquettes, et le risque d’apparition de la maladie de Kreutzfeld Jacob (due au cannibalisme). Quand je lui dis " -Heureusement c’est de l’autre côté de l’Atlantique ! ". Inquiet, il m’avoua que les marques qu’il vendait étaient toutes fabriquées aux Usa…
    -Composition des croquettes : [www.barf.ch]
    Les céréales :
    Les croquettes sont constituées au moins à 80% de céréales. Il faut savoir que 75% de la production mondiale de céréales est contaminée à des taux élevés et dangereux de mycotoxines et vomitoxines. Ceci du essentiellement aux conditions de stockage.
    -Voici deux liens à propos de ces moisissures (dont celui de l’ENV. de Lyon) :
    [www.vet-lyon.fr] [www.econovateur.com]
    Devinez d’où proviennent les céréales des croquettes lorsque ce ne sont pas des " sous produits et résidus de l’industrie boulangère " mentionnés en tant que tel sur les étiquettes.
    A propos des céréales, il faut savoir que le maïs est un des aliments le moins bien toléré pas le chien (mais une source de protéine peu coûteuse pour les pet-foodeurs). Les céréales ne servent qu’à vendre du poids et remplir les sacs de croquettes. Les chiens n’en tirent aucune énergie. Dès la mastication, les chiens n’ont pas l’amylase, enzyme absolument nécessaire pour la digestion de l’amidon. (Donnez du riz ou du maïs, vous le retrouverez intact dans les crottes) Les fibres ralentissent le transit intestinal, les sons et céréales complètes sont très irritants pour la muqueuse de l’intestin, ce qui crée des glaires.
    Les céréales sont aussi composées d’hydrates de carbone (glucides). Là encore les enzymes font défaut chez le chien. Ce qui entraîne des maladies pancréatiques, du foie, le diabète (et la cécité qui va avec), des allergies (mycotoxines), l’obésité, un affaiblissement du système immunitaire, des fèces énormes et puantes, des flatulences, la prolifération des parasites intestinaux. (Liste des affections sur le rapport API. Animal Protection Institut)
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
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  3. #3
    Concernant les risques microbiens, des os et les parasites internes, dans le cadre d’une alimentation naturelle, je me permets de copier-coller un post que j’ai rédigé sur le forum d’un site dédié à cette alimentation :
    " -La viande que nous donnons à nos chiens ne peut théoriquement pas être porteuse de maladies, puisqu' elle est à l'origine destinée à la consommation humaine.
    -Les bactéries (salmonelles par exemple) ne se développent pas de façon dangereuse tant qu'on respecte les principes d'hygiène les plus élémentaires (stockage, travail, abattage, conservation, décontamination, ne pas mélanger les viandes et donc les bactéries...). Pour ce point, vous trouverez tout ce qu'il faut savoir à partir de Google. De plus, le fait de donner des morceaux entiers, les moins travaillés possible, diminue énormément les risques de prolifération, de détérioration, d’oxydation. (Le pire étant la viande hachée).
    Soit dit en passant, quand un chien mange une crotte (ce qui n'est pas rare pour certains), c'est une dose massive de salmonelles qu'ils ingèrent!
    -Le bol alimentaire constitué de viande crue est très efficacement et très rapidement digéré et assimilé par le système digestif du chien. Contrairement aux croquettes qui stagnent beaucoup plus longtemps pour causes d'indigestibilité des trois quarts de leurs composants (gaz dus aux céréales, fatigue du pancréas, épuisement des enzymes de digestion, entraînant fatigue générale et hypersensibilité de l'appareil digestif)
    -Les éventuels oeufs de parasites ont beaucoup moins de chance de pouvoir se développer chez un chien nourri à la viande qu'aux croquettes. Leur évacuation se fera d'autant mieux que le chien sera apte à lutter efficacement. Mais au fait, qui vermifuge les loups et autres canidés dans la nature? Sachez aussi que la plupart des parasites intestinaux du chien et du chat sont transmis par les piqûres de puces, et plus particulièrement leur salive qui en contient les oeufs.
    -Bref, si nous donnons des produits frais et naturels, ce n'est sûrement pas pour avoir des chiens plus fragiles. Un chien nourri avec cette alimentation est tout à fait capable de boire l'eau d'un marais, manger un vieux sandwich abandonné depuis des lustres et grouillant de vers, déterrer et se délecter d'un os enfouis il y a des mois...
    Voilà mon avis. J'ai fait mon choix en préférant cette nourriture " potentiellement dangereuse " à celles fournies par l'industrie, pour lesquelles, là, je n'ai aucun doute sur leur dangerosité. "
    En liberté, les chiens, les loups, les renards, peuvent être aussi opportunistes et consommer de petits rongeurs, insectes, mollusques, et certains végétaux. A propos, le fructose (sucre des fruits) est très apprécié par les canidés. Les papilles gustatives de leur langue les plus nombreuses étant celles du goût sucré ! Est-ce une adaptation pour " mieux sentir " le sucré même en quantité infime, ou un équipement sensoriel leur permettant l’accès à des sources de vitamines et sucres non présents dans les proies animales ? La sécrétion de l’insuline (hormone responsable du stockage des graisses) se fait grâce à la stimulation buccale des papilles gustatives. (on en déduira les dérèglements dus aux produits édulcorants.) Pour ce qui est des vitamines, il faut tout de même savoir que la viande crue contient une quantité non négligeable de vitamine C (voir régime des Inuit) et que la vitamine K (présente dans les abats , les viscères…) permet au tube digestif de synthétiser toutes les autres vitamines.
    -Vidéo " cueillette des framboises " : [www.zippyvideos.com]
    Introduction consacrée à l’alimentation industrielle :
    Déclaration Universelle des Droits de l’Animal, adoptée par la Ligue Internationale des Droits de l’Animal à Londres en 1977. Proclamée le 15 Octobre 1978 au siège de l’UNESCO à Paris : (Article 5.1)
    -Tout animal appartenant à une espèce vivant traditionnellement dans l’environnement de l’homme a le droit de vivre et de croître au rythme et dans les conditions de vie et de liberté qui sont propres à son espèce.
    2) Toute modification de ce rythme ou de ces conditions qui serait imposée par l’homme à des fins mercantiles est contraire à ce droit.
    Article 6.1) Tout animal que l’homme a choisi pour compagnon a droit à une durée de vie conforme à sa longévité naturelle.
    Si pour Charles Baudelaire, " la plus grande ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ", les fabricants d’aliments industriels pour chien et chats, eux nous font croire qu’ils existent depuis toujours ! Vous trouverez en suivant ces liens l’historique de ce commerce né en Angleterre en 1860. Permettez-moi cette allusion diabolique à Baudelaire, ceci étant finalement consensuel en occident quand il s’agit de s’attaquer au pouvoir en général…
    -Histoire des pet-foods : [www.petfoodinstitute.org]
    A travers des références comme les livres, les témoignages, l’Internet, et surtout ma propre expérience, je vais d’abord vous expliquer pourquoi je ne donne plus de nourriture industrielle à mes animaux, et ensuite, pourquoi j’ai choisi l’alimentation naturelle.
    Je rappellerai d’abord que n’importe quel carnivore, en fin de chaîne alimentaire est particulièrement exposé aux pollutions chimiques, hormonales ou par les métaux lourds via sa nourriture. En effet, ces différents polluants passent sans problème les différents maillons de la chaîne, et se retrouvent aussi diversifiés que concentrés dans l’alimentation des canidés d’une large partie de la planète.
    Un loup mangeant un cervidé assimile donc aussi ce avec quoi sa proie a " construit son corps ". Le dicton " on est ce qu’on mange " se vérifie malheureusement. Là, ce sont des risques effectifs qui existent dans la Nature. Plus proche de nous, en bout de chaîne… industrielle, se trouvent les aliments pour animaux familiers. Ces aliments sont faits à partir de déchets des diverses industries agro-alimentaires. Ils ont été traités en tant que tel (pas de réfrigération, conditions de stockage, de transport déplorables, mélange avec d’autres produits pas forcément alimentaires). La plupart du temps, l’industrie des pet-foods est payée par les autres entreprises pour débarrasser ces ordures. Comme exemple, je citerai une liste aussi effrayante qu’effarante des produits ainsi récupérés, (que vous pourrez trouvez dans les références que je donnerai plus loin) :
    -Sciure de bois, becs, plumes, intestins et leur contenu, écailles de poisson, résidus de riz et maïs de brasserie, pulpe de betterave sucrière, cornes, et aux Usa et au Canada : animaux d’équarrissage, morts dans les zoos, dans les refuges, euthanasiés par les vétérinaires, viandes périmées avec leur emballage en polystyrène, etc.
    Dernièrement, je parlais avec mon vétérinaire (pourtant pro croquettes) des lois américaines permettant l’utilisation des animaux d’équarrissage. Les poisons n’étant pas détruits par les process de fabrication des croquettes, et le risque d’apparition de la maladie de Kreutzfeld Jacob (due au cannibalisme). Quand je lui dis " -Heureusement c’est de l’autre côté de l’Atlantique ! ". Inquiet, il m’avoua que les marques qu’il vendait étaient toutes fabriquées aux Usa…
    -Composition des croquettes : [www.barf.ch]
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
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  4. #4
    Les céréales :
    Les croquettes sont constituées au moins à 80% de céréales. Il faut savoir que 75% de la production mondiale de céréales est contaminée à des taux élevés et dangereux de mycotoxines et vomitoxines. Ceci du essentiellement aux conditions de stockage.
    -Voici deux liens à propos de ces moisissures (dont celui de l’ENV. de Lyon) :
    [www.vet-lyon.fr] [www.econovateur.com]
    Devinez d’où proviennent les céréales des croquettes lorsque ce ne sont pas des " sous produits et résidus de l’industrie boulangère " mentionnés en tant que tel sur les étiquettes.
    A propos des céréales, il faut savoir que le maïs est un des aliments le moins bien toléré pas le chien (mais une source de protéine peu coûteuse pour les pet-foodeurs). Les céréales ne servent qu’à vendre du poids et remplir les sacs de croquettes. Les chiens n’en tirent aucune énergie. Dès la mastication, les chiens n’ont pas l’amylase, enzyme absolument nécessaire pour la digestion de l’amidon. (Donnez du riz ou du maïs, vous le retrouverez intact dans les crottes) Les fibres ralentissent le transit intestinal, les sons et céréales complètes sont très irritants pour la muqueuse de l’intestin, ce qui crée des glaires.
    Les céréales sont aussi composées d’hydrates de carbone (glucides). Là encore les enzymes font défaut chez le chien. Ce qui entraîne des maladies pancréatiques, du foie, le diabète (et la cécité qui va avec), des allergies (mycotoxines), l’obésité, un affaiblissement du système immunitaire, des fèces énormes et puantes, des flatulences, la prolifération des parasites intestinaux. (Liste des affections sur le rapport API. Animal Protection Institut)
    Les graisses :
    Contrairement à l’homme, le chien " sait " utiliser les graisses et en tirer de l’énergie sans la stocker préjudiciablement. C’est même là son principal carburant. Même si les pâtes sont " l’aliment du sportif ", dans la nature, pas de spécialités italiennes, l’énergie vient des sources graisseuses. Les industriels utilisent des graisses saturées, périmées, ou de moteur dans les croquettes. Le procédé de fabrication recuit le tout encore une fois pendant 5 minutes, sous vide ou les pulvérise pour rehausser l’appétence.
    Les canidés ne digèrent pas les graisses cuites.
    Parce que c’est la mode, les pet-foodeurs ont intégrés des sources d’acides gras essentiels à leurs recettes (oméga3 et 6). Ils utilisent principalement l’huile de lin, car c’est la source la plus riche en oméga3. Mais ce qu’il faut savoir, c’est que l’huile de lin alimentaire est interdite de vente en France ! En effet, elle devient dangereuse car très cancérigène une fois rance… et des croquettes rances, c’est un pléonasme !
    La qualité de la graisse est pourtant très importante durant le développement du chiot (myélinisation, etc.) et pendant le reste de la vie du système neurologique. Les cellules entourées d’une membrane lipidique communiquant entre elles grâce à ce film graisseux.
    La " viande " :
    Dans ce zoo canadien (mais c’est aussi le cas en France), les loups sont nourris aux croquettes. Comment cela peut-il être autre chose qu’une histoire de gros sous, lorsqu’on sait l’importance (indéniable et connue) de la nourriture en captivité, en prison. Un fauve ou un singe présentant des symptômes de dépression, va immédiatement mieux lorsqu’on lui cache sa nourriture et qu’il est obligé de faire quelques efforts stimulants pour assouvir cette fonction vitale. La viande est la base des besoins d’un carnivore (c’est une véritable figure de style !). Les sources de viande dans les croquettes sont de très mauvaise qualité. Pour les rendre appétentes, on y ajoute par exemple du " digestat de volaille ", qui est ni plus ni moins que des excréments qui vont donner tout le goût de cette mixture. Les comportementalistes pourront dorénavant s’interroger avec ce nouvel élément lorsqu’ils constatent le nombre élevé de chiens coprophages.

    Le Dr Philippe Michon, spécialiste français en nutrition canine écrit à propos de la pavorvirose :
    "La qualité de l’alimentation a une importance cruciale sur l’immunité. La capacité à générer des anticorps et le taux d’anticorps sont étroitement liés à cette alimentation. La qualité des protéines utilisées est un facteur essentiel : l’utilisation de viande fraîche permet d’obtenir une valeur biologique élevée indiscutable. La biodisponibilité est alors beaucoup plus élevée qu’avec les farines de viande. Cette qualité est essentielle et prime la quantité."
    La fabrication :
    Elle a lieu dans différents lieux de la planète, jonglant avec les lois agroalimentaires de pays, et permettant des audaces dignes d’apprentis sorciers.
    -Vidéo fabrication Royal Canin : [www.royalcanin.fr] [www.royalcanin.fr] [www.royalcanin.fr]
    -Répartition des usines dans le monde : [www.royalcanin.fr]
    Dans ces vidéos, vous pourrez admirer les différentes machines et les process nécessaires à la fabrication des croquettes d’une grande marque internationale.
    Les différents ingrédients des croquettes sont d’abord réduits en poudre par divers systèmes mécaniques et thermiques. Ensuite, il y a mélange, puis cuisson. La cuisson à lieu par extrudation (sous vide) pendant au moins 5 minutes, à plus de 250°C. Ensuite les bouchées sont découpées. Quand bien même les ingrédients présentaient encore un quelconque intérêt nutritif, la mixture est de toute façon stérilisée. Et si cela ne suffisait pas, des agents de conservation (interdits en consommation humaine car cancérigènes et entraînant des mutations génétiques) et des antibactériens sont ajoutés. Pour pouvoir garantir, un an après fabrication, la teneur en vitamines (qui n’ont bien sûr pas survécues longtemps), de petites fioles arrosent les croquettes et les surdosent tant, qu’effectivement un an après, ces vitamines artificielles et inassimilables mais qui justifient les étiquettes, sont encore là. Le cas des acides aminés : La taurine, la L-carnitine sont des acides aminés essentiels à la bonne santé des carnivores. Les fabricants les présentent dans leurs produits comme une " stratégie scientifique ". En fait, ces nutriments sont très fragiles et disparaissent pendant la fabrication industrielle. Le simple fait de donner de la viande (même cuite) met à l’abris nos " carnivores domestiques " de toute carence.
    Goûté et approuvé :
    Le scandale Iam’s (Eukanuba, etc.), permit de mettre à jour la façon dont les aliments étaient testés en laboratoire, dans des conditions abominables pour les chiens et chats cobayes. Les tests rendus publics, mentionnaient entre autres, qu’un aliment était commercialisé lorsqu’un nombre pas trop élevé de chiens ne succombaient pas trop rapidement à leur nourriture.
    -Vidéos " Iam’s cruelty " : [www.petatv.com]
    -100% pro-croquettes : [www.croquetteland.com]
    Comment douter de la corrélation entre ces poudres de Perlimpinpin dans l’augmentation des cas de cancers, malformations osseuses, croissance trop rapide, et autres pathologies organiques contemporaines.
    Voici par exemple deux liens à propos de la dysplasie coxo-fémorale :
    -la thèse officielle : [www.chienplus.com]
    - et une hypothèse qui dérange : [www.angryvet.org]
    A propos de cette maladie du squelette congénitale, et qui ignore les lois de la génétique de Mendel, on peut donner l’exemple des lévriers : ces races étaient jusqu’à très récemment totalement indemnes de dysplasie. Et comme par magie, sans retrempe, elle y apparaît aujourd’hui. Posez la question à un vétérinaire, la plupart ne l’envisagent que comme une tare uniquement génétique. La piste de la nourriture est politiquement très incorrecte. (Et pas du tout académique) Et pour cause : la partialité et l’ignorance des vétérinaires. Une partie de leurs (légers) enseignements sur l’alimentation est assurée dans les écoles françaises par les fabricants de croquettes eux-mêmes. D’ailleurs, ce phénomène n’est pas nouveau, et généralisé par les laboratoires dans les universités de médecine depuis longtemps. Comment voulez-vous avoir des conseils d’alimentation fiables par votre vétérinaire ? Ils savent par contre " prescrire " tel ou tel sac de croquette sur la bonne foi des étiquettes. Lui qui doit parfois une partie du financement de sa thèse par les pet-foodeurs, des aides à l’installation en cabinet et de la nourriture gratuite à vie pour ses propres animaux.
    -Sur [www.barf.ch] la liste des enseignants européens actionnaires des marques de croquettes.
    L’UMES. (Unité de Médecine et du Sport) à l’école vétérinaire de Maisons Alfort, est sponsorisée par Royal Canin. Lire leurs bilans sur l’alimentation du chien de sport est toujours un vrai plaisir, tant leurs tests et analyses contredisent celles de leur fournisseur/financeur !
    Les lobbies du pet-food sont les plus puissants des grands groupes financiers. Leur publicité est très bien faite, ils contrôlent la médecine vétérinaire, et donnent même une légitimité à un grand nombre de manifestations autour du chien, de par le sponsoring, des magazines comme 30 millions d’amis (Royal Canin), etc.
    Pourquoi ne pas leur faire confiance ??
    Ces édifiantes révélations, je ne les ai trouvé que plus tard, après avoir décidé de nourrir mon chien comme il se doit, intéressé par les changements qui avaient alors eu lieu. Ce qui m’a ouvert les yeux, c’est d’avoir pris conscience du paradoxe que j’exigeais au nom de l’aspect " pratique " des croquettes : C’est effectivement paradoxal ou plutôt contradictoire, que d’espérer avoir un chien en bonne santé en ne lui donnant jamais rien de frais de toute sa vie !! (Et en cela gober le discours des pet-foodeurs) C’est totalement inconcevable en matière d’alimentation humaine, pourquoi serait-ce différent pour d’autres être vivants ? L’embrigadement du marketing aurait-il faussé à ce point notre bon sens ?
    -Donner de la viande à un carnivore ? Quelle idée ! C’est dangereux entend-on partout. A-t-on oublié qu’avant les années soixante en France les croquettes n’existaient pas ? Qu’auraient été les expériences de I. Pavlov sur le conditionnement, si il avait utilisé autre chose que de la poudre de viande ?
    [www.guichetdusavoir.org] les gamelles de Pavlov… Dans la nature, chaque aliment contient ses propres enzymes qui vont permettre à l’organisme de déconstruire et assimiler ses nutriments. Les croquettes étant un aliment mort, inerte, car stable chimiquement, elles ne contiennent plus les enzymes nécessaires à leur propre assimilation. Quand on décide de changer le régime alimentaire de son chien pour une alimentation fraîche naturelle et variée, on observe d’abord une phase d’adaptation. La flore intestinale, les sucs, les enzymes digestifs ont besoin de s’adapter à une alimentation de qualité, non stérile, vivante.
    Une fois cette transition effective, votre chien est apte à profiter de toutes les vertus et les plaisirs d’une alimentation riche, variée, qui flatte ses instincts de prédateur, ou en tout cas, de carnivore. Ses effets sur la santé, la vitalité et le comportement du chien sont immédiats.
    Concernant le comportement, certains, mal informés, prétendent que " la viande donne le goût du sang aux chien ". Je ne perdrai pas de temps à prouver qu’une affirmation telle relève plutôt d’un mauvais goût pour le folklore canin. Par contre, il est vrai qu’une " dénaturation " en moins, qui plus est dans un domaine important, rend au chien une partie de ses comportements instinctifs au moment du repas. -Oui, la viande est bien meilleure que les croquettes. Votre chien vous le montrera dans un test comparatif si vous en doutiez encore ! Pas étonnant que le moment du repas soit dorénavant lieu d’un enjeu bien plus conséquent. Cela permet effectivement de " mettre au clair " la hiérarchie de votre meute (si vous avez plusieurs chiens).
    Par exemple, mon chien, nourri aux croquettes jusqu’à l’âge de deux ans, tolérait sans problème que les chats de la maison mangent avec lui dans sa gamelle. Au changement d’alimentation, les chats ont vite compris que ce n’était plus possible… La nourriture fraîche ne se prête guère au libre service. De par la question de la conservation, et surtout car la gamelle est consciencieusement et rapidement vidée. Des repas à heures fixes permettent aussi une interaction importante entre le maître et le chien. Interaction des origines, base de la relation loup-chien-homme. La nourriture ne tombe plus du ciel. La main du maître est nourricière. Je suis convaincu de l’importance de cette interaction dans la relation et le comportement. Les bienfaits de repas à heures fixes sont aussi en relation avec les spécificités de l’appareil digestif canin dont j’ai parlé auparavant. (Repos, tolérance…)
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
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  5. #5
    Les repas durent souvent plus longtemps, la possible discrimination des aliments, la diversité des textures, résistances, permet une stimulation intéressante des sens du chien. Les os et la chair crus (ingrédients principaux) ne se prêtent pas à l’engloutissement de la ration. La sensation de satiété est d'ailleurs déclenchée hormonalement par la mastication. La simple répétition du mouvement des mâchoires. De plus, le fait que la nourriture ne soit pas déshydratée, diminue indubitablement les risques de dilatation torsion de l’estomac. Le maître pourra aussi observer une diminution des destructions dues au comportement exploratoire oral du jeune chien. Satisfait du plaisir visible que son chien éprouve, il sera moins enclin à donner des " friandises " industrielles par culpabilité, ou ne sachant quoi proposer aux sollicitations du chien. De nouveaux comportements liés à la gestion et l’occupation de l’espace peuvent aussi émerger lors de cache et d’enfouissement de nourriture.
    Autre changement éventuel dans le comportement (du maître) : assuré de la santé et de la robustesse de son chien, plus besoin de courir derrière lui lorsqu’il s’enfuit avec un détritus comestible en promenade, sous peine de troubles gastro-intestinaux. Ces comportements gênants de jeu " contre le maître " ont moins de chance d’apparaître. Le chien, de toute façon rassasié et comblé d’expériences gustatives variées se désintéresse d’aliments moins bons qu’à la maison (auparavant même un vieux sandwich dans la rue était sûrement meilleur que les croquettes !)
    Au-delà du plaisir du chien, celui du maître, qui n’a plus à ouvrir les sacs ou les boites de conserve en apnée : La possibilité, et parfois l’envie, de goûter le repas de son chien, la fascination de voir son chien manger avec application et appétit une nourriture qui lui convient. Je pense que pour la plupart, cette préparation est aussi un moyen sain de concrétiser son amour pour son chien. Essaye de servir des croquettes avec amour… c’est moins évident !
    L’aspect financier n’est pas à négliger, car la plupart des maîtres qui effectue ce changement n’ont aucun mal à trouver de la viande moins chère que les croquettes " super premium " qu’ils achetaient avant fort cher (en moyenne 50€ les 15 kg, soit 3,30 € le kilo.) La nourriture naturelle est simple et disponible n’importe où.La possibilité de doser indépendamment chacune des sources nutritives de la ration est aussi un grand avantage, car les besoins énergétiques d’un chien ne sont pas standardisables ; ni par race, ni par âge, ni par activité, et surtout pas par poids ! La nourriture industrielle ne permet que d’augmenter ou diminuer la quantité. Suivre les fruits et légumes de saison, car ce n’est pas pour rien qu’ils mûrissent à telle ou telle période. Ils comblent la plupart du temps les besoins nutritionnels spécifiques à un moment de l’année. (cf. le cynorrhodon fruit du rosa canina au début de l’hiver, qui contient un anti-grippal puissant et 100 fois plus de vitamine C que les agrumes) Cet aspect du " travail " de maître peut être passionnant. D’autant que les quelques efforts d’organisation sont vite récompensés par un chien immédiatement plus vivant (l’énergie n’est plus dépensée à digérer des matières qu’il n’aurait pas du avaler), la qualité du poil, des dents et une gueule saine, une santé de fer (par exemple une rapidité de cicatrisation étonnante)…
    -Vous pouvez trouver des conseils, des textes, la liste des ingrédients, des témoignages et bien d’autres sur les sites :
    [www.barf.ch] [roland.collignon.free.fr] [www.rawfed.com] [www.touchmoon.com]
    -Quelques ouvrages où l’on peut entre autres apprendre ce qu’il faut savoir concernant la nutrition, ou tout simplement ce qu’il se cache derrière le jargon d’étiquettes.
    [www.barf.ch]
    Dans ces références, vous découvrirez plusieurs courants autour de l’idée de nourrir avec des produits frais (barf : biologically appropriate raw food, raw feedind, whole feeding…). L’ingrédient principal est toujours la viande. L’idée est de respecter les proportions d’os de viande et de végétaux d’une proie entière. Inspirée par la façon de nourrir les reptiles, le whole feeding (proies entières) ne s’embarrasse pas des proportions, mais à mon avis convient mieux aux chats, strictement carnivores:
    Dans ces diverses approches de l’alimentation du chien, comme pour les humains on retrouve une certain jusqu’auboutisme qui parfois décrédibilise les témoignages. Les pro-croquettes leur reprochent " le monopole de la bienveillance ". Ne vous attardez pas sur ces travers certes agaçants, profitez des conseils et témoignages de maîtres qui n’ont pas d’intérêt financier à vous vendre leur soupe ! "Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé." Le Petit Prince. Antoine de Saint Exupéry--
    Date: jeu 13 avril 2006 01:27:01
    Et bien Excalibur ! Quel travail bénévole pour éclairer la lanterne d'autres amis des animaux ! J'espère que les membres de ce forum auront été touchés et qu'ils seront allés rechercher au fond de leur cerveau le petit grain de bon sens qu'il faut souhaiter qu'il leur reste . Mais a t il pu survivre, le bon sens, pratiquement jamais utilisé, puisque la fonction créee l'organe ? A ne pas l'utiliser, j'ai bien peur que non ! Quand on voit que les gens sont capables d'acheter, les yeux fermés, des trucs à 7 euros le kg, SANS SAVOIR CE QU'IL Y A DEDANS ! Alors que la viande de boeuf est moins chère ! sans parler du poulet, meme bio ! même les cailles sont moins chères ! Encore une dizaine d'années, et le foie gras, la langouste, seront bon marché à côté des croquettes !!! Mieux vaut en rire qu'en pleurer ! J'achète mes cous de volailles auprès d'un abattoir, et le camion "PET FOOD" ne charge pas la même qualité que ce que j'achète 0,17 euros le kilo. IL CHARGE LES CONTAINERS D'ENTRAILLES PLEINES DE FIENTES ! Et les containers de plumes ! tout ceci étant les "sous produits animaux" !! Et ça, c'est pas des on-dit, c'est ce que je vois ! C'est pour tout cela que pour ma part, j'ai beaucoup apprécié la teneur de ton message en souhaitant qu'il ait pu provoquer des prises de conscience. Bonne soirée PS mes chiens et chats mangent viandes et cous de volailles, fromage blanc, huiles 1ère pression à froid, oeuf bio et coquilles. Comme exemple, j'ai un berger allemand en pleine forme de 17 ans révolus, qui tire à peine d'un antérieur. De sa vie, il n'a pris de médicament ! Quel mangeur de croquettes peut il régater ? Et comme le coût de la nourriture crue est très très abordable, j'ai pu aussi faire le bonheur de deux autres gros chiens : un dogue allemand complètement tordu à 4 mois que j'ai entièrement récupéré en 3 mois de nourriture crue et une grande chienne (66 cm/40 kg) croisée boxer/malinois adoptée à la SPA à 4 mois.
    Date: jeu 13 avril 2006 03:32:19
    Ni mieux ni moins bien! Différent ! Les jusqu'au boutistes sont toujours dangereux ! Faire ce que l'on crois le mieux ou le plus adapté pour un son cas !! Le chien ou le chat sont comme des enfants ils ont besoins d'habitudes. Faire croire que les croquettes ne sont pas recommandée par les vétérinaires, tu vas un peu loin. Comme dans les sectes j'ai l'impression que le mot vétérinaire à la fin de ton paragraphe sert à justifier une démarche particulière que je ne juge pas mais qu'il serait dommage de vendre comme étant la meilleure. Pour mon cas j'utilise des croquettes, étant soucieux de produits naturels san OGM et farine animal j'utilise du 100% poisson. (Forza10 pour ne pas le citer) Mais libre à chacun de faire de bon peits plats équilibrés à leur chiens.
    Date: jeu 13 avril 2006 11:52:42
    de tous les veterinaire que j'ai pu rencontrer tous conseillaient les croquettes car de gros progrès ont été fais dans ce domaine. j'ai eu une chatte qui a vecu 18ans et a mangé des croquettes une bonne partie de sa vie et elle n'a jamais été chez le veto,et c'est pareil pour les 8chats que l'on a aujourd'hui ils mangent essentielement des croquettes et tous se portent très bien. le seul capable de nous developper quelque chose c'est parce que ce chat est plus fragile que les autres bah oui les chats ne sont pas des etres surpuissant certains sont plus fragiles que d'autre. faudra m'expliquer pourquoi a un chat qui a des problemes de reins on donne des croquettes et sachets specifique a ces problemes car un veto n'a aucun interet a vendre un produits qui tuera le chat.
    Date: jeu 13 avril 2006 11:57:19
    "Quand on voit que les gens sont capables d'acheter, les yeux fermés, des trucs à 7 euros le kg, SANS SAVOIR CE QU'IL Y A DEDANS ! Alors que la viande de boeuf est moins chère ! sans parler du poulet, meme bio ! même les cailles sont moins chères !" => parce que tu crois qu'en conseillant une telle alimentation sans fibres ni couverture correcte des besoins énergétiques, c'est mieux ???? Mais tu n'y connais rien de plus par rapport aux gens qui donnent des croquettes à 7€ le kg !!!
    Date: mar 18 avril 2006 09:38:04
    je suis d'accord avec la nouriture crue et naturelle bien moins chère que l'on peut le penser le poulet en CUISSE est à 1,50 euros le kg et pour les fibres rien ne vous empèche de rajouter des légumes secs et fruits crus et restes alimentaires non cuits carottes par exemple en donnant de la viande avec os on à le calcium moi je m'arrange avec un boucher qui me donne la sciure d'os qu'il récupère quand il scie les os pour les pots au feu un peu d'ail pour les vers des oeufs et tout va bien en ce qui concerne les chats ils ne boivents pas autant qu'un chien et celà favorise les calculs quand ils mangent des croquettes même si on n'est pas veto cela va de soit de toutes façons quand les croquettes n'existaient pas nos animaux existaient et ils se portaient mieux voyez tous les produits que vous achetez pour la peau le poil les douleurs les reins et j'en passe de toutes façons continuez avec vos croquettes car cela mettraient des milliers de personne au chômage qui remplissent ces super usines qui rapportent de l'or aux industriels et qui ne sonts pas prêts de s'arreter
    Date: mar 18 avril 2006 09:53:41
    Pour que la nourriture ménagère soit équilibrée, il faut y ajouter de l'huile de germe de blé, de la levure de bière, une pincée de sel iodé, de tenps en temps 2 jaunes d'oeuf etc ..... l'ail ne tue pas les vers, c'est juste une croyance ; Alors , à moins de prendre du poulet fermier, des légumes bio ..... ok, tu ne mets pas de conservateurs; Dans les croquettes bas de gamme, il y en a qui ont des colorants et des renforçateurs de gouts (crottes appétentes pour certains chns!) Donc, je pense - comme déjà dit - qu'en lisant les étiquettes on doit trouver de bonnes croquettes ; je me fis d'abord à la qualité et après aux prix, et je vais en animalerie où j'ai la chance d'avoir du "bon" à prix club canin!
    Date: mer 19 avril 2006 09:26:19
    "en ce qui concerne les chats ils ne boivents pas autant qu'un chien et celà favorise les calculs quand ils mangent des croquettes même si on n'est pas veto cela va de soit" => C'est une histoire d'acidité de la nourriture... "de toutes façons quand les croquettes n'existaient pas nos animaux existaient et ils se portaient mieux" => non. Quand les croquettes n'existaient pas, les chiens mourraient jeunes, pourris de carences à force d'être nourris avec les restes de repas... http://www.animal-services.com/~foru....php?19,408311
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
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  6. #6
    Utente di HTML.it L'avatar di DydBoy
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  7. #7
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    se che l'è?

  8. #8
    Originariamente inviato da bako
    se che l'è?
    se hai cani o gatti ti puo' interessare
    Più la si cerca e più si allontana, la base dell'arcobaleno.
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  9. #9
    Utente di HTML.it L'avatar di arrows
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    me lo traduci pliz?
    Ti spio dalla finestra

  10. #10
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    colpito da un uççello' con l'aviaria?
    Per liquidare un popolo si comincia con il privarli della memoria.Si distruggono i loro libri, la loro cultura, la loro storia. E qualcun’ altro scrive loro altri libri, li fornisce di un’altra cultura, inventa per loro un’altra storia. (Milan Kundera)

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